2025/10/14 03:02
NextFly

En septembre 2025, Aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle (CDG) a assuré 21,131 départs, soit une progression annuelle de +12.57%. L’essor a été porté par la reprise régulière du long‑courrier et par des flux feeders européens robustes alimentant les vagues de correspondances de CDG. Des ajouts de capacité vers l’Atlantique Nord et certaines lignes d’Asie, conjugués à une forte utilisation du court‑courrier, ont soutenu les pics quotidiens sans allonger sensiblement les horaires publiés. La répartition des jours de semaine est restée saine ; en revanche, les pics loisirs du week‑end ont continué d’éprouver la disponibilité des portes et l’allocation des postes de stationnement. Les compagnies ont optimisé les fréquences sur les couples de villes clés et augmenté le gabarit des appareils aux périodes contraintes en slots, améliorant l’efficacité sièges tout en gardant des temps de rotation globalement stables.
Le taux de ponctualité à Aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle (CDG) s’est établi à 50.96%, en baisse de -5.52 percentage points sur un an. Les tensions se sont concentrées en fin d’après‑midi et en fin de soirée, lorsque se superposaient complexes d’arrivées et files de repoussage. La gestion des flux du contrôle du trafic aérien (ATC) sur certaines zones d’Europe occidentale et centrale, aggravée par des cellules convectives locales et des retards en amont, a réduit l’adhérence aux horaires. Les encombrements au sol autour des postes éloignés et les goulets d’étranglement de remorquage ont ajouté plusieurs minutes aux temps moyens de départ de porte. Les transporteurs ont accru les marges, mais un relâchement limité du réseau a contenu la capacité de rattrapage après les vagues les plus denses.
Aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle (CDG) a recensé 179 annulations en septembre 2025, soit une variation annuelle de -9.60%. Le niveau est resté contenu au regard du trafic ; la plupart des cas se sont concentrés lors d’épisodes météo brefs et d’échanges d’appareils liés à la maintenance amont. L’élagage proactif d’un petit nombre de rotations a limité les effets domino, tandis que la capacité de partenaires et quelques appareils de réserve ont facilité la réaccommodation. Une fois l’activité convective dissipée, les postes affectés ont rapidement recouvré un cycle normal et la remise en état nocturne a protégé la première vague du lendemain.
La combinaison d’une croissance soutenue des vols et d’une ponctualité plus tendre à Aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle (CDG) illustre un compromis bien connu. Le débit a progressé à bon rythme tandis que le taux de ponctualité s’est fixé à 50.96%, signe d’une capacité d’espace aérien serrée et de pics concentrés. Avec la transition vers l’horaire d’hiver, des vagues de mi‑journée plus légères et un usage plus fin des pistes devraient desserrer la congestion des voies de circulation. Des investissements ciblés dans la disponibilité des postes et les plans de remorquage, ainsi que des améliorations graduelles des flux ATC, devraient stabiliser les indicateurs clés, sous réserve d’épisodes météo prolongés.
Pour une correspondance à Aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle (CDG), prévoyez une marge confortable, surtout lors des vagues de fin de soirée. Lorsque c’est possible, privilégiez des créneaux hors‑pointe et ajoutez du temps pour les transferts inter‑terminaux. L’application NextFly permet de suivre la météo aéroportuaire, le taux de ponctualité — récemment autour de 50.96% — et de recevoir des alertes de changement de porte ainsi que des alertes de retard. Les rappels d’arrivée et de tapis à bagages aident à réduire le temps au sol après l’atterrissage. Sur les lignes sensibles à la météo, préférez des départs plus tôt et évitez les correspondances les plus serrées.
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